vendredi 1 novembre 2019

Halloween 6 : la malédiction de Michael Myers


Titre : Halloween 6 : la malédiction de Michael Myers (Halloween : the curse of Michael Myers)
Réalisateur : Joe Chappelle
Acteurs : Donald Pleasance, Paul Rudd, Marianne Hagan
Date de sortie en France : 10 mars 1998 (VHS)
Genre : horreur

Synopsis : 
Dix ans après avoir terrorisé la petite ville d'Haddonfield et avoir disparu avec sa nièce Jamie, le psychopathe Michael Myers, protégé par une bande de sorciers maléfiques, revient sur les lieux de ses sanglants méfaits. Jamie, elle, donne naissance au fils de Michael Myers et appelle une nouvelle fois le docteur Loomis à l'aide. 
 
Avis : 
Ceci est un appel à l’aide : si quelqu’un a compris le scénario de Halloween 6, merci de m’envoyer un message ou de me fournir l’explication en commentaire. Parce qu’entre cette histoire incompréhensible de secte druidique, cette histoire de runes, ce Myers sous influence, ce gamin sous influence, ce retour du gamin gardé par Jamie Lee Curtis dans le 1er film et tout le barnum, ce film est incompréhensible.


Tout ce qu’on peut comprendre finalement, c’est que les producteurs ont finalement décidé de tuer le mythe Michael Myers, pour n’en faire qu’un pantin interchangeable, bien loin de l’incarnation du Mal, insensible et inarrêtable, qu’il était censé être jusqu’alors. Cela ne l’empêche pas d’avoir des super-pouvoirs, comme une espèce de radar interne ou une faculté de téléportation terriblement efficace (mais alors, pourquoi marcher ? Pourquoi voler des véhicules ? Ou alors, comme dans les jeux vidéo, ces pouvoirs doivent-ils se recharger avant d’être utilisés de nouveau ?).

Le pire dans tout ça, c’est qu’avec tout ce bordel incompréhensible, on ne retient rien du film. Je l’ai revu il y a deux semaines, et je suis presque incapable de citer une quelconque séquence en dehors de l’introduction et de la fin. Peut-être est-ce là la fameuse « malédiction » évoquée par le titre : Halloween 6 est tellement mauvais, tellement quelconque malgré la volonté de présenter de nouveaux éléments scénaristique, qu’on l’oublie immédiatement, là où même Halloween 5 restait un peu en mémoire…

Note : 0,5/10
 
 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire